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Messieurs et confrères Tisseurs. Je suis au regret de vous annoncer que mon patron n'a pas jugé bon de me relâcher à l'heure convenue et que je dois donc prolonger mon temps de travail jusqu'à 22h ce soir. Si le coeur vous en dit, vous pouvez bien patienter jusqu'au retour du fils prodigue mais je vous conjure de n'en rien faire si attendre incommode vos éminentes personnes. Trouvez quelque bouche trou pour me remplacer et même si nous savons que je suis irremplaceable, je serai avec vous par la pensée ce qui vous aidera grandement, rassurez vous. Je reste aimablement vôtre pour tout complément d'information à mon retour. Soyez bénis.